Œuvrant au service de l’intérêt général, la FVCS entend bien être reconnue comme telle. Puis à terme, viser l’obtention de la reconnaissance d’utilité publique ! Pour l’heure, le replet dossier de candidature à l’agrément d’intérêt général vient d’être dument transmis…

L’agrément (Intérêt général) en ligne de mire…

Statuts, composition des instances, documents administratifs et financiers, rapports d’activité, budget, attestation sur l’honneur, autodiagnostic… Pièce par pièce, le puzzle documentaire a été patiemment et méticuleusement composé par la FVCS.

Pour faire bonne mesure, ont été jointes des pièces de natures à justifier son caractère national : Charte, Livre blanc et courriers reçus suite à sa diffusion (ministres, présidents d’associations nationales d’élus …), état des contacts avec le cabinet de la Présidente de l’Assemblée nationale, vidéos et mémoire des étudiants, dépliant…

Et maintenant ? Patience, en espérant pouvoir vous annoncer prochainement une bonne nouvelle ! 

L’agrément traduit la reconnaissance par l’État (ou par l’un de ses établissements publics) de l’engagement d’une association dans un domaine particulier d’intérêt général. L’association agréée bénéficie d’avantages variables selon l’agrément : 

  • Valorisation en termes de communication
  • Étape préliminaire à la reconnaissance d’utilité publique
  • Certaines aides financières réservées
  • Subventions publiques
  • Représentation dans des instances de concertation

…avant de viser la reconnaissance d’utilité publique 

Pour prétendre à terme au “Graal”, à savoir devenir une association reconnue d’utilité publique (ARUP), la FVCS devra impérativement remplir les 5 conditions suivantes :

  • Être d’intérêt général
  • Avoir une influence et un rayonnement qui dépasse le cadre local 
  • Avoir un nombre minimum d’adhérents (au moins 200), une activité effective et une réelle vie associative (participation incontestable de la majorité des adhérents aux activités de l’association)
  • Avoir un fonctionnement démocratique et organisé en ce sens par ses statuts 
  • Avoir une solidité financière sérieuse (montant minimum de ressources annuelles de 46 000 €, montant de subventions publiques inférieur à la moitié du budget, résultats positifs au cours des 3 derniers exercices). 

Il ne restera donc plus qu’à atteindre la barre des 200 communes adhérentes… Nous n’en sommes pas encore là, mais la volonté, elle, existe déjà bel et bien !